Finalement

macno a écrit: ....vivre riche au sein d’une communauté pauvre, implique aussi qu’on mette en œuvre des mesures coercitives,
( le droit, la police, les milices…. ) afin de maintenir les privilèges qui sont les nôtres..

Un sondage révélait qu'un encadrement militaire dans des centres éducatifs pour mineurs délinquants
serait soutenu à gauche (67%) comme à droite (80%).

Peut-être simplement le besoin de sécurité de chacun.
Sans occulter les raisons sociales qui entrainent vers la délinquence, la montée de celle-ci et l'échec de certaines politiques ( dont il ne faut pas exonérer la gauche ...) jetteront obligatoirement les uns et les autres dans le "+ répressif".

il y aura moins de delinquance ,les vieux courent pas assez vite pour braquer les banques et les gens

Faut tuer les vieux à la naissance, comme ça y'a pas besoin de payer des retraites et ça fait plus de place pour tous les autres, non?

Je constate que PYM, dans sa grande sagesse, est selon moi tout à fait dans le vrai. (sauf si l'on met de côté ses choix douteux en matière d'informatique - private joke - )

Je suis tout à fait en phase avec son 'réalisme cynique'.

Quel qu'il soit et d'où qu'il vienne, l'homme n'a naturellement qu'une préoccupation, sa petite personne. S'il est 'de droite', c'est qu'il pense avoir ou pouvoir mettre de côté plus que la moyenne, et donc il aimerait bien pouvoir le garder. S'il est de gauche, c'est qu'il pense avoir moins que la moyenne ou n'arrivera pas à progresser, alors il aimerait plus de re-distribution.

La distribution 'droite/gauche' correspond tout simplement à un équilibre où à peu près 50% de la population se sent (mais n'est pas, subtile différence qui permet l'alternance) en dessous ou au dessus de la moyenne. Si la droite était au pouvoir sans discontinuer durant les trente glorieuses, c'est que , croissance aidant, tout le monde se sentait plus riche que son voisin.

Quand je dis 'avoir', je ne parle pas que de biens matériels, ça peu être aussi de la reconnaissance, de la célébrité...

Après, on a tous nos petits moments de faiblesse et d'empathie envers les autres, mais la portée en est limitée.

Si tout le monde était merveilleux et ne pensait qu'aux autres, les riches industriels et leurs actionnaires donneraient leur entreprise à leur salariés ou leurs bénéfices à la communauté. Les footballeurs prendraient un salaire équivalent à la moyenne de ceux qui les adulent (et ils serait encore gagnants en reconnaissance). Les employés de bureau travailleraient jusqu'à 70 ans pour payer la retraite des maçons et des pompiers, qui eux-même essaieraient de continuer dans une activité plus reposante arrivés à 50 ans plutôt que de vouloir partir en retraite. Les fonctionnaires - assurés de leur emploi à vie - travailleraient 45 heures par semaine pour assurer un chômage décent à ceux qui n'ont pas de travail. Le vol n'existerait plus, on ne démolirait pas la nature sans vergogne, on ne dépasserait pas 3 milliards d'homme sur terre, etc.

Mais tout cela n'est pas possible, et plutôt moins en France qu'ailleurs. Peut-être quand nous seront suffisamment sages pour ne pas nous auto-proclamer 'homo sapiens'...

Des simplismes qu'affectionnent d'ailleurs les extrèmes.
Où les cyniques.

***

Le cynisme, une sale manie de privilégié occidental.
Particulièrement en France.
Souvent distillé par des gens qui agissent peu.

Lorenzo a écrit:Des simplismes qu'affectionnent d'ailleurs les extrèmes.
Où les cyniques.

Certains (les mêmes ?) appellent ça "avoir l'esprit de synthèse".

Gadloo a écrit:r l'esprit de synthèse".

helas, moi, je n'ai que de la résine de synthèse

Priez pour nous

Un exercice difficile…

Lorenzo a écrit:Des simplismes qu'affectionnent d'ailleurs les extrèmes.
Où les cyniques.

***

Le cynisme, une sale manie de privilégié occidental.
Particulièrement en France.
Souvent distillé par des gens qui agissent peu.

Bien sûr, l'occidental est une saleté alors que 'les autres' sont gentils.
Le mythe du 'bon sauvage' de Rousseau (ou Diderot, je ne sais plus) a du bon !
Si l'occidental est 'pénible', c'est qu'il en a les moyens. Mais je ne doute pas une seconde qu'un pays comme - par exemple la Chine ou l'Inde - ne va pas tarder à souffrir des mêmes maux que nous, au fur et à mesure ils vont s'enrichir (ce qui est un bien...).
Je me répète, mais lorsqu'on a quelque chose, on veut le garder pour soit, et quand on a moins, on voudrait avoir ce qu'ont les autres...

1°) D'abord pour gad' :
Oui, j'ai une proposition pour remplacer la bipolarisation des scrutins : confier le travail à ceux qui savent l'exécuter et cesser de demander à des incompétents de désigner pour ce faire celui qui leur parait le plus sympa.

Je suis un fervent détracteur de la démocratie à tous crins. C'est une ineptie.

Pour faire réparer ma télé, c'est au professionnel que je demande son avis, pas à la majorité de ma famille.

2°) Merci pour le moment de rigolade avec la discrétion d'Emmanuelli.

3°) Pour philus
Tibook de chez Beltronic :
Pécé avec des logiciels de pécé, durci, étanche, écran tactile, une poignée, petit lèger, écran lisible de jour, wi-fi etc... moins de 900 € au vieux campeur.

J'ai vu, j'ai touché, c'est autre chose que la tablinette de vieillard monotâche de la pomme....

Merci pour la grande sagesse.

Gadloo a écrit:

macno a écrit: ....vivre riche au sein d’une communauté pauvre, implique aussi qu’on mette en œuvre des mesures coercitives,
( le droit, la police, les milices…. ) afin de maintenir les privilèges qui sont les nôtres..

Un sondage révélait qu'un encadrement militaire dans des centres éducatifs pour mineurs délinquants
serait soutenu à gauche (67%) comme à droite (80%).

tu t aperçois que le plus pauvre ,vol férocement l autre pauvre qui est pi étre un peut moins pauvre!
quand a toi qui est à leurs yeux un riche, si tu a un moment de faiblesse par perte de tes pseudos accessoires de riche , tu deviens une merde pour nombre d entre eux !
bon , comme partout il y a du bon grain dans( l ivres se)

PYM a écrit:1°) D'abord pour gad' :
Je suis un fervent détracteur de la démocratie à tous crins. C'est une ineptie.

Tibook de chez Beltronic :
Pécé avec des logiciels de pécé, durci, étanche, écran tactile, une poignée, petit lèger, écran lisible de jour, wi-fi etc... moins de 900 € au vieux campeur.

J'ai vu, j'ai touché, c'est autre chose que la tablinette de vieillard monotâche de la pomme....

Merci pour la grande sagesse.

D'accord pour 'la démocratie à tous crins' à remplacer par une démocratie 'éclairée', c'est à dire par un système de grands électeurs moins sensibles aux sirènes du populisme.

En ce qui concerne le Tibook je regarderai, mais je n'oublirai pas de t'envoyer de superbes photos de mon Iserviette le 28

philus a écrit:...En ce qui concerne le Tibook je regarderai, mais je n'oublirai pas de t'envoyer de superbes photos de mon Iserviette le 28

Le Tobook de Beltronic (sans rapport avec le ti-book de chez apeule) est dispo de suite.
Outre le fait qu'il dispose d'une poignée de manutention, il est garanti résister à une chute sous tous ses angles sur une dalle en béton d'une hauteur de 50cm.

Tout, ici : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

il me semble , que d'être de gauche , c'est concevoir et accepter que l'on pense pour moi !!
être de droite , c'est accepter et concevoir que je pense pour les autres !!!! non ?

je me suis levé du pied gauche, mais il a bien fallu que j'utilise mon pied droit aussi.

Donc, me suis-je dit, si je n'utilise que mon pied gauche, je ne trouverai pas l' équilibre si propice à mon bien-être qui me permet de me mouvoir .

Fort de cette profonde pensée, je me suis recouché pour me relever, du pied droit cette fois, juste pour voir.

Et là, stupéfiante constatation, mon pied droit avait lui aussi besoin de mon pied gauche !

Droite, gauche, gauche, droite... Les 2 réunis pour mon bonheur, les deux actifs pour mon plaisir , les deux naturellement équilibrés pour me permettre de me nourrir.

Le pied gauche ne cherche pas à faire tomber mon pied droit.
le pied droit ne cherche pas à avoir une plus grande chaussure que mon pied gauche, il n'envie pas sa démarche féline (enfin, ça c'est quand j'étais jeune), ni n'est envié pour son aisance (ça c'est plus maintenant!)

Diantre.

Mes pieds seraient ils plus perspicaces que notre société ?

... devisent aimablement quoiqu'en des termes parfois vifs sur la stratégie à tenir suite aux multiples voies d'eau qui sont en train de nous envoyer par le fond.
Pendant ce temps, ceux qui travaillaient dans les cales sont déjà morts, ceux qui survivent actionnent les pompes, la plupart cherchent un gilet de sauvetage pour leurs enfants ou pour eux, certains sont déjà à quelques milles au large, ayant eu la fortune de trouver une place dans un canot.
Les concepteurs et armateurs du navire, bien au chaud, font déjà les comptes des millions perdus dans le naufrage et miseront désormais plutôt sur l'avion.
Il s'en trouvera pour dire que le monde n'est pas le Titanic, j'imagine qu'ils sont dans un salon, enchantés par la musique distillée par l'orchestre.
Certains, à l'abri dans leur salon, lisent les journaux et pourront se vanter demain d'avoir bien dit qu'il ne fallait pas construire un tel bateau.
Sauf que nous voilà tous à bord de ce machin fort joli mais quelque peu malmené, qu'il y a des morts, et qu'il n'y aura pas de place pour tous dans les canots.
On peut se poser la question de savoir lequel des officiers a la bonne stratégie, personnellement je préfère partir à la recherche des gens qui à bord, on la compétence en soudure et en calfat pour réparer la coque, pour préparer des repas avec des aliments mouillés, et toute cette sorte de choses.
Pour continuer de me vautrer dans la parabole maritime, je vais vous dire le fond de ma pensée: étant convaincu que ceux qui nous gouvernent, de gauche comme de droite, sont également responsables du désastre, et compte tenu que leur stratégie a consisté jusqu'ici à construire toujours plus grand et toujours moins manoeuvrant, il me semble que la plus simple raison devrait nous pousser à faire radicalement différent. Moins grand, moins rentable, mais plus marin. Comme par exemple une agriculture qui n'épuise pas les sols, une industrie qui privilégie la qualité et le savoir faire, et une stratégie économique qui s'intéresse à la pérennité du modèle plutôt qu'à sa performance instantanée.
Il y a plein de gens qui militent pour la redécouverte de cette sagesse ancestrale, mais on ne les voit pas tellement à la télé ni à la tête de nos partis.
Il faut dire qu'ils militent pour des intérêts de gens qui ne votent pas: nos enfants et petits enfants.
En attendant leur improbable arrivée au pouvoir, je continue parfois de mettre un bulletin dans une enveloppe pour faire barrage au plus dangereux (selon moins) et/ou au plus injuste de nos politiques, mais franchement il y a bien longtemps que le coeur n'y est plus, même si, ô miracle, certaines idées qui hier faisaient ricaner sont aujourd'hui secrètement envisagées par tous les états major. Certains, par le simple fait qu'elles peuvent séduire quelques illuminés, d'autres, espérons-le, touchés par un début de clairvoyance.

PYM a écrit:1°) D'abord pour gad' :
Oui, j'ai une proposition pour remplacer la bipolarisation des scrutins : confier le travail à ceux qui savent l'exécuter et cesser de demander à des incompétents de désigner pour ce faire celui qui leur parait le plus sympa.

C'est ce qui se passe en Chine... !!! Un billet d'avion ???

moins feignasse, j'aurai pu écrire mot pour mot ce que dit (si bien) Culsec

oui finalement j'ai bien fait de me faire du mal ce week end,

Culsec a écrit:... devisent aimablement quoiqu'en des termes parfois vifs sur la stratégie à tenir suite aux multiples voies d'eau qui sont en train de nous envoyer par le fond.
Pendant ce temps, ceux qui travaillaient dans les cales sont déjà morts, ceux qui survivent actionnent les pompes, la plupart cherchent un gilet de sauvetage pour leurs enfants ou pour eux, certains sont déjà à quelques milles au large, ayant eu la fortune de trouver une place dans un canot.
Les concepteurs et armateurs du navire, bien au chaud, font déjà les comptes des millions perdus dans le naufrage et miseront désormais plutôt sur l'avion.
Il s'en trouvera pour dire que le monde n'est pas le Titanic, j'imagine qu'ils sont dans un salon, enchantés par la musique distillée par l'orchestre.
Certains, à l'abri dans leur salon, lisent les journaux et pourront se vanter demain d'avoir bien dit qu'il ne fallait pas construire un tel bateau.
Sauf que nous voilà tous à bord de ce machin fort joli mais quelque peu malmené, qu'il y a des morts, et qu'il n'y aura pas de place pour tous dans les canots.
On peut se poser la question de savoir lequel des officiers a la bonne stratégie, personnellement je préfère partir à la recherche des gens qui à bord, on la compétence en soudure et en calfat pour réparer la coque, pour préparer des repas avec des aliments mouillés, et toute cette sorte de choses.
Pour continuer de me vautrer dans la parabole maritime, je vais vous dire le fond de ma pensée: étant convaincu que ceux qui nous gouvernent, de gauche comme de droite, sont également responsables du désastre, et compte tenu que leur stratégie a consisté jusqu'ici à construire toujours plus grand et toujours moins manoeuvrant, il me semble que la plus simple raison devrait nous pousser à faire radicalement différent. Moins grand, moins rentable, mais plus marin. Comme par exemple une agriculture qui n'épuise pas les sols, une industrie qui privilégie la qualité et le savoir faire, et une stratégie économique qui s'intéresse à la pérennité du modèle plutôt qu'à sa performance instantanée.
Il y a plein de gens qui militent pour la redécouverte de cette sagesse ancestrale, mais on ne les voit pas tellement à la télé ni à la tête de nos partis.
Il faut dire qu'ils militent pour des intérêts de gens qui ne votent pas: nos enfants et petits enfants.
En attendant leur improbable arrivée au pouvoir, je continue parfois de mettre un bulletin dans une enveloppe pour faire barrage au plus dangereux (selon moins) et/ou au plus injuste de nos politiques, mais franchement il y a bien longtemps que le coeur n'y est plus, même si, ô miracle, certaines idées qui hier faisaient ricaner sont aujourd'hui secrètement envisagées par tous les états major. Certains, par le simple fait qu'elles peuvent séduire quelques illuminés, d'autres, espérons-le, touchés par un début de clairvoyance.

tout ca pour dire que tu es partisan de la decroissance ?t'inquietes ,moi aussi ,merci pour cette belle parabole

... au lieu de faire mon intéressant sur les forums, j'irais travailler avec ceux qui sont sur le chantier.
Le monde va s'effondrer sous le poids de notre paresse, et chaque jour des hommes meurent à cause d'un geste qu'on n'a pas fait (comme par exemple leur filer une part de sandwich).
J'espère bien qu'il n'y a pas de jugement dernier, parce que je ne suis pas sûr qu'on accorde beaucoup de crédit aux bavards.

La parole est le vecteur dont les idées ne pourraient se passer. Et ce sont bien les idées qui engendrent les actes.

Je l'ai longtemps cru, mais c'est un modèle qui n'en est pas un: il ne faut pas être très fort en maths pour s'apercevoir qu'il mène à zéro.
En revanche, je suis un adepte d'une VRAIE croissance.
Je m'explique:
Depuis des années on nous bassine avec la croissance (la droite et la gauche se battant juste pour savoir comment l'obtenir et la partager).
Or, il ne s'agit que de croissance du chiffre d'affaire, personne ou presque ne prend la peine d'évaluer le coût de cette croissance (en diminution des stocks, en consommation d'êtres humains et de matière première).
C'est pour tellement ahurissant que je me demande comment c'est possible: les politiques nous demandent de leur accorder un crédit en nous montrant uniquement des perspectives de chiffre d'affaire. Deux hypothèses: soit ils n'ont pas appris le B-A BA de la comptabilité, soit ils nous prennent pour des jambons. Le pire c'est que les deux sont vrais.
Pour moi, qui comme eux ai été formé aux techniques de gestion, il y a deux choses à faire:
1) Revoir notre façon de compter et trouver rapidement des unités de mesure qui nous permettent de faire un vrai bilan prévisionnel. Loin d'être évident, car si ce n'est pas mesuré, c'est hélas parce que ce n'est pas facilement mesurable: quel coût réel pour un licenciement ? quelle consommation de matière première non renouvelable pour un kilomètre en voiture ? Les débats d'experts s'annoncent acharnés, mais un peu moins (abs) cons que ceux des agences de notation actuelles. Par exemple, je mesurerais bien (entre autres) les performances d'un gouvernement sur la diminution du nombre de suicides dans le pays.
2) Instaurer une nouvelle taxe sur la valeur diminuée, basée sur coût des saloperies mises sur le marché. Le produit de cette taxe serait naturellement reversé aux produits à forte valeur réelle ajoutée et sans coût indirect, comme par exemple l'éducation.

clarivoile a écrit:La parole est le vecteur dont les idées ne pourraient se passer. Et ce sont bien les idées qui engendrent les actes.

Rimbaud a révolutionné la littérature en renversant les préséances de la pensée et de la parole.
Cela dit, ça a fini par le mener au silence.
Sans entrer dans l'excès, je pense qu'on gagnerait à faire taire les anges ou démons qui nous dictent perpétuellement notre conduite pour retrouver un peu de spontanéité.
Par exemple, en ne se livrant pas à des activités qui nous révoltent sous prétexte qu'elles sont raisonnables, ou à essayer des choses qui ne le paraissent pas du tout et qui pourtant ont de fortes chances de se révéler beaucoup plus riches.
Assez de réflexion, et un peu plus d'audace et de spontanéité, bordel !
Et du Rhum, nom de Dieu, s'il le faut, pour nous donner du courage !

decroissance est un grand mot mal utilisé et qui ne plait pas ,bon parlons de croissance intelligente et moderée ,ça te plais comme ça ?

pierre a écrit:decroissance est un grand mot mal utilisé et qui ne plait pas ,bon parlons de croissance intelligente et moderée ,ça te plais comme ça ?

Pas tout à fait: je suis pour une croissance rapide et illimitée de l'éducation, de la santé, et des promenades en bateau (à voile)
Il y a des rabat-joie qui vont objecter: comment on les finance ?
Eh bien par exemple en diminuant les maladies telles que la dépression, qui nous coûtent une fortune.
Et hop, une taxe sur les jeux débiles où on se massacre à coups de kalashnikov virtuelle, pour financer des stages de dériveur.

clarivoile a écrit:ce bar devient surtout un lieu de dénigrement d'autrui, et particulièrement de ceux qui essaient de faire quelque chose à un certain niveau ....

Malgré quelques tentatives courageuses de le faire vivre autrement, on est toujours avec les bottes et sabots sales.

Mais, sans doute ne suis je pas adapté à ce bar

4 jours à bord du tricanette, et on se refait une santé... ce bistrot n'est pas trop mal mais ça manque un peu d'eau salée à mon goût pour que j'y traîne mes bottes chaque soir !!!

Gadloo a écrit:C'est ce qui se passe en Chine... !!! Un billet d'avion ???

Tous les système peuvent être pervertis lorsqu'ils sont détournés.
Ce n'est pas pour autant qu'ils sont mauvais