Elles ne se trompent jamais...

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Jopic a écrit: [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

La cotation des "zagences" influent sur le coût des transactions des états cotés.
Le coût des transactions influe sur la santé financière des états cotés.
Leur santé financière des états cotés influe sur la cotation des "zagences".
La cotation des "zagences" influent sur le coût des transactions des états cotés.
Le coût des transactions influe sur la santé financière des états cotés.
Leur santé financière des états cotés influe sur la cotation des "zagences".
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Le coût des transactions influe sur la santé financière des états cotés.
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Le coût des transactions influe sur la santé financière des états cotés.
Leur santé financière des états cotés influe sur la cotation des "zagences".

Est-ce la poule qui fait l’œuf ou l’œuf qui fait la poule ?
...

Le coût des transactions influe sur la santé financière des états cotés !!!
bien sur !
tous ces mecs sont en train de tarir les flux d argent qui permetteraient au négoce de repartir !!
Trop d argent stagne dans les coffres !
Que tu sois riche c est bien , mais laisse le fric circuler , achete toi des gros bateaux des belles maisons oui , mais laisse circuler l argent .
il y a de gros investissements a faire donc du travail , faut se préparer pour la montée des eaux , faut electrifier l afrique ,
des hopitaux a ouvrir partout , ammener l eau en afrique ,

hautbanc a écrit:
(...)
tous ces mecs sont en train de tarir les flux d argent qui permetteraient au négoce de repartir !!
Trop d argent stagne dans les coffres !
(...)

Du temps de l'or comme seule monnaie ayant cours légal (sonnante et trébuchante), existait simultanément les effets de commerce endossables (traites, billets à ordre). Ceux-ci servaient de quasi monnaie dans la chaîne de production. De durée de vie limitée à celle nécessaire à la production du bien acheté puisqu'à échéance à la date de livraison et de paiement par le client, ils permettaient de rémunérer le négociant et tous les autres intervenants jusqu'au salarié du producteur AVANT que le client ait payé grâce au mécanisme de l'escompte (et de son taux d'intérêt associé)

Ainsi, d'une part, nul ne pouvait facilement dévaluer la monnaie en l'imprimant à volonté, mais, d'autre part, nul ne pouvait non plus bloquer le commerce en thésaurisant (mercantilisme) : les variations des taux d'escompte et monétaire équilibrant le système ; Les trois propensions (épargner, thésauriser, dépenser) étaient en concurrence via les taux d'intérêts.

Bretton Wood a essentiellement supprimé les effets de commerce dans le négoce (même s'ils existaient officiellement encore aux échelles nationales) : il fallait utiliser la monnaie qu'on possédait ou l'emprunter. La monnaie-dette généralisée venait de naitre.

Ensuite, lors de la deuxième défaillance monétaire américaine (fermeture du "guichet de l'or" par Nixon le 15 août 1971), l'or fut remplacé par de la monnaie de singe facilement imprimable par ceux qui en avaient le contrôle et son usage rendu obligatoire à l'échelle mondiale. La thésaurisation n'était plus possible sinon on était appauvri en dormant. La financiarisation via la dette-monétisée devenait le cancer dont nous observons aujourd'hui le stade terminal (à mon avis).

Et comment vois-tu la suite?

Comme dit Pym....une bonne guerre..

oh une petite 1789 avec , rétrécissements, ça pourrait peu être suffire ?

Macno a écrit:Comme dit Pym....une bonne guerre..

OUIIII

iras-tu en première ligne toi ? pardon t'es trop vieux !!!!
donc laisses la place aux jeunes tes enfants et petits enfants feront l'affaire !!!!!!!!

Çà va pas la tête ! On est pacifistes chez nous ! tendance "mourir pour des idées....mais de mort lente "
Nous savons bien que dans tous les conflits , les morts ont perdu la guerre, aussi on préfère être dans le camp des vivants, même vaincus ......

comme disait coluche
ça aurait été du joli si les jeunes allemands avaient parlé comme toi !
elle aurait été jolie la guerre !

J'avoue ch'uis lâche.......

on fera sans toi !

hautbanc a écrit:oh une petite 1789 avec , rétrécissements, ça pourrait peu être suffire ?

En temps de crise, un seul mot d'ordre : "La réduction des cous"

Sebs a écrit:

hautbanc a écrit:oh une petite 1789 avec , rétrécissements, ça pourrait peu être suffire ?

En temps de crise, un seul mot d'ordre : "La réduction des cous"

j en ris a gorge déployée !

Carquei a écrit:Et comment vois-tu la suite?

en cette matière comme en la plupart j'évite de prévoir, j'essaie juste d'envisager les posibilités les plus douloureuses, même les moins plausibles (confiscation déguisée de biens, coups d'états même de "velours", guerre), et de m'en protéger raisonnablement par avance.

Le choix actuel semble s'orienter -- Oh surprise ! -- vers une dévaluation sélective de toutes les dette-monnaies occidentales via un concours où le plus lent prétend que sa monnaie de singe est forte, voire "monte", en ne la comparant qu'aux autres qui baissent plus vite.

Le but du jeu est d'effaçer une partie bien choisie des dettes (retraite, épargne, ...) par l'inflation et d'éponger le reste par défaillance au moins partielle à les rembourser selon les modalités prévues (taxes, impôts, ...).

Le fin du fin est évidemment d'appliquer les deux méthodes simultanément sans que le sujet ne s'en rende vraiment compte : à valeur constante, ce qui se payait 100 pourra bien se payer 123 du simple fait de l'inflation, on ne gagnera rien en pouvoir d'achat réel. Si de plus on peut taxer cette vraie-fausse plus-value à 33%, le sujet aura l'impression de quand même gagner 15 alors qu'il perdra.

Et si, cerise sur le gâteau, l'Institut Officiel de la Mesure Scientifique Véritablement Vraie de l'Indice des Prix déclare que l'inflation n'a été que de 10%, on pourra même culpabiliser le sujet pour s'être enrichi de 5% en dormant pendant que d'autres souffraient : manifestons pour une contribution de solidarité ! --comment ? ça existe déjà ? augmentons-la !

hautbanc a écrit: on fera sans toi !

boff!! quand on fait la guerre si on doit se replier dès que 4 soldats (volontaires) se font tuer il nous faut espérer qu'il n'y aura pas un pays mal intentionné qui l'apprenne sans quoi on va devoir (les simples citoyens) risquer notre peau pour arrêter les "hordes "

Hier je me suis payé "l'éloge de la frontière " de Regis Debray.....ce qui nous manque, c'est de savoir pourquoi on se bat.......pour Dassault effectivement ma motivation est minime...

l argent étant le nerf de la guerre rapatrier tous nos militaires nous ferait faire quelques économies ,

p'titlouis2 a écrit:
en cette matière comme en la plupart j'évite de prévoir, j'essaie juste d'envisager les posibilités les plus douloureuses, même les moins plausibles (confiscation déguisée de biens, coups d'états même de "velours", guerre), et de m'en protéger raisonnablement par avance.

Le choix actuel semble s'orienter -- Oh surprise ! -- vers une dévaluation sélective de toutes les dette-monnaies occidentales via un concours où le plus lent prétend que sa monnaie de singe est forte, voire "monte", en ne la comparant qu'aux autres qui baissent plus vite.

Le but du jeu est d'effaçer une partie bien choisie des dettes (retraite, épargne, ...) par l'inflation et d'éponger le reste par défaillance au moins partielle à les rembourser selon les modalités prévues (taxes, impôts, ...).

Le fin du fin est évidemment d'appliquer les deux méthodes simultanément sans que le sujet ne s'en rende vraiment compte : à valeur constante, ce qui se payait 100 pourra bien se payer 123 du simple fait de l'inflation, on ne gagnera rien en pouvoir d'achat réel. Si de plus on peut taxer cette vraie-fausse plus-value à 33%, le sujet aura l'impression de quand même gagner 15 alors qu'il perdra.

Et si, cerise sur le gâteau, l'Institut Officiel de la Mesure Scientifique Véritablement Vraie de l'Indice des Prix déclare que l'inflation n'a été que de 10%, on pourra même culpabiliser le sujet pour s'être enrichi de 5% en dormant pendant que d'autres souffraient : manifestons pour une contribution de solidarité ! --comment ? ça existe déjà ? augmentons-la !

et qu'a prévu A. Minq?

parce qu'il y a 99% de chance que ce soit l'inverse qui arrive

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p'titlouis2 a écrit:

Carquei a écrit:Et comment vois-tu la suite?

...
Le but du jeu est d'effaçer une partie bien choisie des dettes (retraite, épargne, ...) par l'inflation et d'éponger le reste par défaillance au moins partielle à les rembourser selon les modalités prévues (taxes, impôts, ...).
!

Assez d'accord globalement avec ton analyse et en particulier sur ce que j'ai relevé et que j'avais déjà exposé.

ce qui explique entre autres, la frilosité des banques pour prêter et leur avidité à collecter des liquidités.

Carquei a écrit:...ce qui explique entre autres, la frilosité des banques pour prêter...

Pas remarqué, pour tant je viens de faire appel à eux pour un prêt immobilier.
J'ai pu faire une mise en concurrence et obtenir les conditions qui me convenaient (justement sans remboursement de capital sur un délai assez long c'est à dire sans retour de liquidité).

Mais peut être que la réaction des banques dépend des convictions politiques de l'emprunteur...

PYM a écrit:

Carquei a écrit:...ce qui explique entre autres, la frilosité des banques pour prêter...

Pas remarqué, pour tant je viens de faire appel à eux pour un prêt immobilier.
J'ai pu faire une mise en concurrence et obtenir les conditions qui me convenaient (justement sans remboursement de capital sur un délai assez long c'est à dire sans retour de liquidité).

Mais peut être que la réaction des banques dépend des convictions politiques de l'emprunteur...

eh eh eh, serais je de droite ?????

Batelier a écrit:
et qu'a prévu A. Minq?

parce qu'il y a 99% de chance que ce soit l'inverse qui arrive :hihi:

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Minc est un de mes indicateurs contrariens.

PYM a écrit:

Carquei a écrit:...ce qui explique entre autres, la frilosité des banques pour prêter...

Pas remarqué, pour tant je viens de faire appel à eux pour un prêt immobilier.
J'ai pu faire une mise en concurrence et obtenir les conditions qui me convenaient (justement sans remboursement de capital sur un délai assez long c'est à dire sans retour de liquidité).

Mais peut être que la réaction des banques dépend des convictions politiques de l'emprunteur... :sif:

un emprunt in-fine ? comme le taux te convient, tu pourrais bien avoir l'avantage supplémentaire de rembourser le capital en monnaie de singe, comme dans les années 70 où emprunter s'était s'enrichir (au début de la période de stagflation comme on disait alors).

La crise des ânes

Un homme portant cravate se présenta un jour dans un village.

Monté sur une caisse, il cria à qui voulait l’entendre qu’il achèterait cash 100 euros l’unité tous les ânes qu’on lui proposerait. Les paysans le trouvaient bien peu étrange mais son prix était très intéressant et ceux qui topaient avec lui repartaient le portefeuille rebondi, la mine réjouie. Il revint le lendemain et offrit cette fois 150 € par tête, et là encore une grande partie des habitants lui vendirent leurs bêtes. Les jours suivants, il offrit 300 € et ceux qui ne l’avaient pas encore fait vendirent les derniers ânes existants. Constatant qu’il n’en restait plus un seul, il fit savoir qu’il reviendrait les acheter 500 € dans huit jours et il quitta le village.

Le lendemain, il confia à son associé le troupeau qu’il venait d’acheter et l’envoya dans ce même village avec ordre de revendre les bêtes 400 € l’unité. Face à la possibilité de faire un bénéfice de 100 € dès la semaine suivante, tous les villageois rachetèrent leur âne quatre fois le prix qu’ils l’avaient vendu et pour ce faire, tous empruntèrent

Comme il fallait s’y attendre, les deux hommes d’affaire s’en allèrent prendre des vacances méritées dans un paradis fiscal et tous les villageois se retrouvèrent avec des ânes sans valeur, endettés jusque’au cou, ruinés.

Les malheureux tentèrent vainement de les revendre pour rembourser leur emprunt. Le cours de l’âne s’effondra. Les animaux furent saisis puis loués à leurs précédents propriétaires par le banquier. Celui-ci pourtant s’en alla pleurer auprès du maire en expliquant que s’il ne rentrait pas dans ses fonds, il serait ruiné lui aussi et devrait exiger le remboursement immédiat de tous les prêts accordés à la commune.

Pour éviter ce désastre, le Maire, au lieu de donner de l’argent aux habitants du village pour qu’ils paient leurs dettes, le donna au banquier, ami intime et premier adjoint, soit dit en passant. Or celui-ci, après avoir rétabli sa trésorerie, ne fit pas pour autant un trait sur les dettes des villageois ni sur celles de la commune et tous se trouvèrent proches du surendettement.

Voyant sa note en passe d’être dégradée et pris à la gorge par les taux d’intérêts, la commune demanda l’aide des communes voisines, mais ces dernières lui répondirent qu’elles ne pouvaient en aucun cas l’aider car elles avaient connu les mêmes infortunes.

Sur les conseils avisés et désintéressés du banquier, toutes décidèrent de réduire leurs dépenses : moins d’argent pour les écoles, pour les programmes sociaux, la voirie, la police municipale... On repoussa l’âge de départ à la retraite, on supprima des postes d’employés communaux, on baissa les salaires et parallèlement on augmenta les impôts. C’était, disait-on, inévitable mais on promit de moraliser ce scandaleux commerce des ânes.

Cette bien triste histoire prend tout son sel, quand on sait que le banquier et les deux escrocs sont frères et vivent ensemble sur une île des Bermudes, achetée à la sueur de leur front. On les appelle les frères Marchés.

Très généreusement, ils ont promis de subventionner la campagne électorale des maires sortants.

Cette histoire n’est toutefois pas finie car on ignore ce que firent les villageois. Et vous, qu’auriez-vous fait à leur place ? Que ferez-vous ?

p'titlouis2 a écrit:

PYM a écrit:

Carquei a écrit:...ce qui explique entre autres, la frilosité des banques pour prêter...

Pas remarqué, pour tant je viens de faire appel à eux pour un prêt immobilier.
J'ai pu faire une mise en concurrence et obtenir les conditions qui me convenaient (justement sans remboursement de capital sur un délai assez long c'est à dire sans retour de liquidité).

Mais peut être que la réaction des banques dépend des convictions politiques de l'emprunteur...

un emprunt in-fine ? comme le taux te convient, tu pourrais bien avoir l'avantage supplémentaire de rembourser le capital en monnaie de singe, comme dans les années 70 où emprunter s'était s'enrichir (au début de la période de stagflation comme on disait alors).

Oui, effectivement.
Je me suis dit de deux choses l'une :
Le futur président est un mec sérieux, et ça m'arrange déjà, c'est Flamby ou mieux Merluchon et là : "golden nuts" comme en 81 (pour mémoire : des obligations à 17%!!!!!!!!!!!!!!, certaines à plus de 20% demandez à AFER).


Mais chut...

Phil972 a écrit:La crise des ânes

Un homme portant cravate se présenta un jour dans un village.

Monté sur une caisse, ...
...Et vous, qu’auriez-vous fait à leur place ? Que ferez-vous ?

Il y a belle lurette que j'aurais moi aussi racheté les ânes à +10.

Cette histoire n’est toutefois pas finie car on ignore ce que firent les villageois. Et vous, qu’auriez-vous fait à leur place ? Que ferez-vous ?

moi j aurais tranformé les frerots en boute en train ,
et je n aurais pas stoppé les anes !

Batelier a écrit:...eh eh eh, serais je de droite ?????

Tu est courageux, réaliste, volontaire, tu fais preuve d'initiative et tu n'hésites pas à prendre des risques, tu avance en trouvant des solutions plutôt que de t'attarder à pleurnicher sur tes problèmes ?

Si tu réponds oui à toutes les questions, la réponse est oui.
Sinon : pas de chance, tu es de gauche.

Autre chose?

PYM a écrit:

Batelier a écrit:...eh eh eh, serais je de droite ?????

Tu est courageux, réaliste, volontaire, tu fais preuve d'initiative et tu n'hésites pas à prendre des risques, tu avance en trouvant des solutions plutôt que de t'attarder à pleurnicher sur tes problèmes ?

Si tu réponds oui à toutes les questions, la réponse est oui.
Sinon : pas de chance, tu es de gauche.

Autre chose?

T aurais pu rajouter , les lois , tu t assois dessus , si tu n hésites pas a mettre la tête d un pote sous l eau , si tu es égoiste ! tu es de droite mais tu prends un risque , c est de voir Un jour des de gauche venir te couper la tête ! le jour ou ils n auront plus rien a perdre !
Parce que je connais beaucoup de gens de gauche qui ont les qualités que tu cites !