bonjour a tous et a toutes

Macno a écrit:Quand on n'a rien à dire
Bernard Dimey


Quand on n’a rien à dire et du mal à se taire
On peut toujours aller gueuler dans un bistrot
Parler de son voisin qui n’a pas fait la guerre
Parler de Boumédiène et de Fidel Castro

Parler, parler, parler... pour que l’air se déplace
Pour montrer qu’on sait vivre et qu’on a des façons
Parler de son ulcère ou bien des saints de glace
Pour faire croire aux copains qu’on n’est pas le plus con
..........

hautbanc a écrit:...prés des wc doit rester un havre de pets !...

Un lieu commun...

j y ai pensé mais j ose plus !!!!!!!!
je vais essayer de laisser les toilettes plus propres que je les ai trouvé en entrant ! pour le retour éventuel de ceux qui ont l' olfactif sensible !

Va en pets mon fils !

PYM a écrit:
Sais-tu me dire de quel sketch est tiré ta citation de Coluche (j'ai pas trouvé ) et de quand date-t-elle.

Non!

Ca ne m'étonnerait pas, si elle existe, que cette dernière, banale en soi, soit une référence détournée à la citation d'Audiart.

Probable!

Par avance, merci de tes précisions.

Tout ça retourné

Briaréus a écrit:

PYM a écrit:
Sais-tu me dire de quel sketch est tiré ta citation de Coluche (j'ai pas trouvé ) et de quand date-t-elle.

No:respect:

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de 1.58 et c est a la fin que ça fuse

hautbanc a écrit:[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
de 1.58 et c est a la fin que ça fuse

C'est marrant : je cherchais chez votre maître et voir successivement les deux sketches pose réellement la question de savoir lequel a plagié l'autre l'haineux de mauvais poil ou le philosophe

2 phrases différentes les sons se mélangeant et l efficacité de la feuille amoindrie peuvent faire confusion !
mais ;
c est pas parce qu on a rien a dire qu il faut fermer sa gueule
et quand on en sait pas plus que ça il faut fermer sa gueule !
pas tout a fait pareil , mais , ok coluche , a quelquefois piqué et adapté des répliques ,

Macno a écrit:

tout est dit

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pour ce sketch il a été viré de rires et chansons !!!!!!!

hautbanc a écrit:j y ai pensé mais j ose plus !!!!!!!!
je vais essayer de laisser les toilettes plus propres que je les ai trouvé en entrant ! pour le retour éventuel de ceux qui ont l' olfactif sensible !

Tu vois, quand tu veux, tu arrives à exprimer quelque chose sans être insultant et de faire un truc qui s'apparente à de l'humour

Comme j'ai eu horreur de ces notations durant mes années collège et lycée, je te la ressert: "des progrès, mais peut mieux faire"

il ne te remercie pas , car ton jugement n a aucune importance pour lui !

Il ne te remercie pas, car il est désormais zenitude, calmitude et compassionnionitude.

Ôm mani Padne ôm, Ôm mani Padne ôm

Macno a écrit:Va en pets mon fils !

oui oui !

ça barde a la Réunion !!!

personne ??????

L'isolement

Souvent sur la montagne, à l'ombre du vieux chêne,
Au coucher du soleil, tristement je m'assieds ;
Je promène au hasard mes regards sur la plaine,
Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds.

Ici gronde le fleuve aux vagues écumantes ;
Il serpente, et s'enfonce en un lointain obscur ;
Là le lac immobile étend ses eaux dormantes
Où l'étoile du soir se lève dans l'azur.

Au sommet de ces monts couronnés de bois sombres,
Le crépuscule encor jette un dernier rayon ;
Et le char vaporeux de la reine des ombres
Monte, et blanchit déjà les bords de l'horizon.

Cependant, s'élançant de la flèche gothique,
Un son religieux se répand dans les airs :
Le voyageur s'arrête, et la cloche rustique
Aux derniers bruits du jour mêle de saints concerts.

Mais à ces doux tableaux mon âme indifférente
N'éprouve devant eux ni charme ni transports ;
Je contemple la terre ainsi qu'une ombre errante
Le soleil des vivants n'échauffe plus les morts.

De colline en colline en vain portant ma vue,
Du sud à l'aquilon, de l'aurore au couchant,
Je parcours tous les points de l'immense étendue,
Et je dis : " Nulle part le bonheur ne m'attend. "

Que me font ces vallons, ces palais, ces chaumières,
Vains objets dont pour moi le charme est envolé ?
Fleuves, rochers, forêts, solitudes si chères,
Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé !

Que le tour du soleil ou commence ou s'achève,
D'un oeil indifférent je le suis dans son cours ;
En un ciel sombre ou pur qu'il se couche ou se lève,
Qu'importe le soleil ? je n'attends rien des jours.

Quand je pourrais le suivre en sa vaste carrière,
Mes yeux verraient partout le vide et les déserts :
Je ne désire rien de tout ce qu'il éclaire;
Je ne demande rien à l'immense univers.

Mais peut-être au-delà des bornes de sa sphère,
Lieux où le vrai soleil éclaire d'autres cieux,
Si je pouvais laisser ma dépouille à la terre,
Ce que j'ai tant rêvé paraîtrait à mes yeux !

Là, je m'enivrerais à la source où j'aspire ;
Là, je retrouverais et l'espoir et l'amour,
Et ce bien idéal que toute âme désire,
Et qui n'a pas de nom au terrestre séjour !

Que ne puîs-je, porté sur le char de l'Aurore,
Vague objet de mes voeux, m'élancer jusqu'à toi !
Sur la terre d'exil pourquoi resté-je encore ?
Il n'est rien de commun entre la terre et moi.

Quand là feuille des bois tombe dans la prairie,
Le vent du soir s'élève et l'arrache aux vallons ;
Et moi, je suis semblable à la feuille flétrie :
Emportez-moi comme elle, orageux aquilons !

Alphonse de Lamartine

A l'enterrement d'une feuille morte
Deux escargots s'en vont
Ils ont la coquille noire
Du crêpe autour des cornes
Ils s'en vont dans le soir
Un très beau soir d'automne
Hélas quand ils arrivent
C'est déjà le printemps
Les feuilles qui étaient mortes
Sont toutes réssucitées
Et les deux escargots
Sont très désappointés
Mais voila le soleil
Le soleil qui leur dit
Prenez prenez la peine
La peine de vous asseoir
Prenez un verre de bière
Si le coeur vous en dit
Prenez si ça vous plaît
L'autocar pour Paris
Il partira ce soir
Vous verrez du pays
Mais ne prenez pas le deuil
C'est moi qui vous le dit
Ça noircit le blanc de l'oeil
Et puis ça enlaidit
Les histoires de cercueils
C'est triste et pas joli
Reprenez vous couleurs
Les couleurs de la vie
Alors toutes les bêtes
Les arbres et les plantes
Se mettent a chanter
A chanter a tue-tête
La vrai chanson vivante
La chanson de l'été
Et tout le monde de boire
Tout le monde de trinquer
C'est un très joli soir
Un joli soir d'été
Et les deux escargots
S'en retournent chez eux
Ils s'en vont très émus
Ils s'en vont très heureux
Comme ils ont beaucoup bu
Ils titubent un petit peu
Mais la haut dans le ciel
La lune veille sur eux.

Jacques Prévert

Hier j'ai chargé un lexique français/charentais.....Prévert en charentais c'est çà qui aurait de l'allure

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Macno a écrit: Hier j'ai chargé un lexique français/charentais.....Prévert en charentais c'est çà qui aurait de l'allure

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ça marche pas

Ben si... J'la eu tout comptant.

Zarbi....chez moi si ! je recommence par un outil de la page elle même :

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Macno a écrit:Zarbi....chez moi si ! je recommence par un outil de la page elle même :

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YES

Je suis tombé sur ce lien parce que je cherchais le mot "cabernot" qui désignait chez ma grand mère noimoutrine un cabanon. ( comme celui devant les maisons où on rangeait les filets, les casiers etc..)....le patois du pays de retz est assez approchant, mais à part pour une citation je ne trouve pas cette acception.....

salut tortous ! emev'la rintré !! sympa que de la douceur ici
une petite des plages Normandes !

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Seuls au monde même les flics étaient sympas !!
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Tétais où ? plage déserte du Cotentin Ouest, région Coutances ?.....

granville , omaha beach , juvenville !agon coutanville , portbail ,
et une nuit prés de la verrue ; le mont saint michel ,