C'est la faute .......
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Sebs
olenoyere
Jorginho
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C'est la faute .......
Invité Sam 28 Nov - 9:07
A PYM .... :winsta: :winsta:
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Mais ...... alors ...... Comment font les mouches pour .... Hummm ..... au plafond
Elles se frottent le fondement ....... ou c'est du crépi sous pression ...............
Vous ëtes la tartine beurrée dans le bol, j'espère .......
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Mais ...... alors ...... Comment font les mouches pour .... Hummm ..... au plafond
Elles se frottent le fondement ....... ou c'est du crépi sous pression ...............
Vous ëtes la tartine beurrée dans le bol, j'espère .......
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merdailée
Invité Sam 28 Nov - 9:18
Les chenilles n'ont pas de pattes. Les merdachenilles non plus.
Les poissons flottent entre deux eaux. Les merdapoisson flottent aussi entredeux eaux.
Les mouchent volent. Les merdamouches itou.
Autre chose ?
Les poissons flottent entre deux eaux. Les merdapoisson flottent aussi entredeux eaux.
Les mouchent volent. Les merdamouches itou.
Autre chose ?
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Pas sur .....
Invité Sam 28 Nov - 10:19
PYM a écrit:
Les mouchent volent. Les merdamouches itou.
Autre chose ?
Réponse logique ....... MAIS ......
Si on a tous pris une merdamouette sur le casque ..... Une merdamouche ..... T'en as déja trouvé une sur ton bonnet ......
Invité- Invité
Spécificité de la merdamouette
Invité Sam 28 Nov - 10:29
La mouette s'alimente de poissons.
Le poisson flotte entre deux eaux (voir plus haut. Prenez des notes, merde...).
Si le poisson flotte entre deux eaux,, c'est qu'il est dans l'eau et donc qu'il a tendance à y retourner.
L'eau étant en dessous de l'air (sauf quand il pleut) le poisson à tendance à aller en dessous de l'air aussi, ce qui le fait tomber.
La merdamouette étant des restes de poisson tombe aussi de la même manière.
Si le bonnet est en chemin...splach.
Mais pourquoi, dans ce cas, la merdamouche ne tombe-t-elle pas aussi ?
Et bien simplement parce que la MàM (musca merdum) se nourrit d'un aliment extrêment volatile. Chacun sait que le pet plane et ne retombe jamais. J'en veux pour preuve que les parapets sont disposés pour séparer le sol du vide ou évolue le pet et que personne n'a jamais buté sur un pet tombé à terre.
C'est pour cela que le comportement de la merdamouche est très différent de celui de la merdamouette et c'est d'ailleurs grâce à cela que l'examen des déjections permet de savoir si on est devant un nid de mouche (au plafond) ou un nid de mouette (sur le bonnet).
:winsta:
Le poisson flotte entre deux eaux (voir plus haut. Prenez des notes, merde...).
Si le poisson flotte entre deux eaux,, c'est qu'il est dans l'eau et donc qu'il a tendance à y retourner.
L'eau étant en dessous de l'air (sauf quand il pleut) le poisson à tendance à aller en dessous de l'air aussi, ce qui le fait tomber.
La merdamouette étant des restes de poisson tombe aussi de la même manière.
Si le bonnet est en chemin...splach.
Mais pourquoi, dans ce cas, la merdamouche ne tombe-t-elle pas aussi ?
Et bien simplement parce que la MàM (musca merdum) se nourrit d'un aliment extrêment volatile. Chacun sait que le pet plane et ne retombe jamais. J'en veux pour preuve que les parapets sont disposés pour séparer le sol du vide ou évolue le pet et que personne n'a jamais buté sur un pet tombé à terre.
C'est pour cela que le comportement de la merdamouche est très différent de celui de la merdamouette et c'est d'ailleurs grâce à cela que l'examen des déjections permet de savoir si on est devant un nid de mouche (au plafond) ou un nid de mouette (sur le bonnet).
:winsta:
Invité- Invité
Re: C'est la faute .......
Jorginho Sam 28 Nov - 11:08
En même temps, la mouettum merdum se voit arriver d'en haut, et on peux l'éviter...
Par contre, va éviter la musca merdum... pour la voir, faut une sacré bonne vision...
:winsta:
Par contre, va éviter la musca merdum... pour la voir, faut une sacré bonne vision...
:winsta:
Jorginho- Messages : 4239
Date d'inscription : 29/10/2009
Age : 57
Localisation : Un kayou de l'Atlantique ;-)
C'est moindre mal
Invité Sam 28 Nov - 11:11
Jorginho a écrit:En même temps, la mouettum merdum se voit arriver d'en haut, et on peux l'éviter...
Par contre, va éviter la musca merdum... pour la voir, faut une sacré bonne vision...
:winsta:
La merdamouche collant au plafond, on ne se fait oindre que lorsque l'on est tout retourné, la tête en bas.
Et là le vrai problème, c'est plutôt la merdasoi...cf plus haut, la boucle est bouclée.
Invité- Invité
Brillant !
olenoyere Sam 28 Nov - 11:11
Etonant... Quel talent... Tous ça sur ce modeste forum 
Certain que ça va attirer du monde... On va être célèbre
... Ceux qui sont sur l'avarraratososcope signeront des autographes
Et les nouveaux...
on les fera payer ! on va êtes riiiiiiiche 
Certain que ça va attirer du monde... On va être célèbre
... Ceux qui sont sur l'avarraratososcope signeront des autographesEt les nouveaux...
on les fera payer ! on va êtes riiiiiiiche 
olenoyere- Messages : 175
Date d'inscription : 05/11/2009
Localisation : Asnières
Rien de moins étonnant à celà Olé..
Invité Sam 28 Nov - 11:14
Rappelles toi que nous sommes le fruit d'un écrémage et que la crème, c'est le meilleur.
C'est par la sélection qu'on sépare l'élite (et dieu sait que des lit'es on en a descendu...).
C'est par la sélection qu'on sépare l'élite (et dieu sait que des lit'es on en a descendu...).
Invité- Invité
Re: C'est la faute .......
Invité Sam 28 Nov - 12:19
PYM a écrit:
Et là le vrai problème, c'est plutôt la merdasoi...cf plus haut, la boucle est bouclée.
Ce fil est d'une bouleversante profondeur.
J'en profite pour régler les paramètres de mon Kant à soi.
Invité- Invité
Re: C'est la faute .......
Sebs Dim 29 Nov - 20:38
Je ne peut laisser de telles ââââneries sur cet hôôô combien sérieux et réputé forum.
En effet, tout le monde a entendu parler du fâââmeux pet-plum ! Et bien que d'une légèreté à faire voler une mouette, la plume fini inexorablement sa course sur le plancher des vaches.
Mais, les petsdesvaches, c'est pas ça qui va faire baisser le taux de carbone dans l'air...
Sebs- Messages : 629
Date d'inscription : 06/11/2009
Age : 53
Localisation : Dunkerque -
Pas con .....
Invité Dim 29 Nov - 21:09
Sebs a écrit:
Je ne peut laisser de telles ââââneries sur cet hôôô combien sérieux et réputé forum.
En effet, tout le monde a entendu parler du fâââmeux pet-plum ! Et bien que d'une légèreté à faire voler une mouette, la plume fini inexorablement sa course sur le plancher des vaches.
Mais, les petsdesvaches, c'est pas ça qui va faire baisser le taux de carbone dans l'air...
D'autant plus, qu'une relation peut être faite entre le résultat accompagnateur du petdevache ...... labous'devach', et que celle-ci est extrèmement fréquentée par les porteuses de l'origine du sujet (lamerdamouche)
Ce qui en découle, est que ce qui orne les vieux plafonds est de labous' devenue de lamerdamouche ....
Et que donc, la question reste entière ..... vu que de labous', même tranformée, ne peut être volante .....
La théorie de la merde volante ne tiens donc plus .....
en l'air ..... 
Invité- Invité
Franchement les gars
Invité Lun 30 Nov - 0:33
BRAVO : vous avez réussi à recréer l'ambiance que j'aimais dans une autre vie sur un autre mouillage 
Grace à vous je ne regrette pas d'avoir déménagé
Grace à vous je ne regrette pas d'avoir déménagé
Invité- Invité
Objection vot' ronneur!
Invité Lun 30 Nov - 11:38
En préliminaire, j'attire l'attention des intervenants sur la présence du bourrelet de remord qui orne mon front puisque je vais devoir, pour expliciter ma contradiction revenir vers des données techniques, arides qui risquent, peut être, de décourager le béotiens et de rebuter le primaire mais qui me paraissent incontournables tant la véhémence éhontée et péremptoire de la perfide réponse introduite par mes contradicteur est criante.
Pour aborder le développement liminaire (de fond, Houille, houille dit-il craintif) il convient d'exposer rapidement que la bous'e'd'vache n'est pas un matériau natif puisqu'elle est un condensat de l'émulsion pet/bous' séparé par gravité dès l'extrusion anale et bovine.
C'est cet exposé rapide qui sera l'axe autour duquel va s'articuler mon développement. Convenons de l'appeler l'axe hâtif pour en simplifier l'identification.
L'interprétation savante des constats expérimentaux détaillés ci-dessus démontre sans aucune contestation sérieuse que la merdamouche conserve les caractéristiques initiales de la bouffamouche qui a servi à son élaboration.
En gourde, il est incontestable (et deux tu bascules) que la merdamouche ne peut coller au plafond que lorsque la mouche a à sa disposition un plafond "pourichier" (note : le pourichier est au plafond muscophile, ce que le "nourricier" est au sol, le putassier au politique et le meringué au nappage).
Deux arguments naturels spontanés et indéniables s'opposent donc aux affirmations infondées de mes contradicteurs :
1°) Comment peuvent-ils évaluer la proportion des dépôts au plafond des merdamouches rurales bovines alors même que les champs n'ont pas de plafond.
2°) Quand bien même il s'agirait de merdamouches stabulatoires et plafonnières, comment écarter qu'elles puissent être le résultat de la sédimentation excrémentielle de la régurgitation des effluves flatulatoires de la distillation de la bous' comme évoquée plus haut avec l'axe hâtif.
Souvenons nous que, à l'échelle de la mouche, le pet de vache est une bruine et qu'a l'instar du marin breton transi par les embruns chargés d'une brise hivernale la mouche est infusée jusqu'aux tréfonds de son pelage par les humidités fétides et poisseuses des éclaboussures post digestives et défecatoires qui, pour elle, sont autant de nourritures profuses et donc de merdamouche en devenir.
Soyons clair : quoiqu'en pense la vox populi, le sens commun ou la rumeur, la merdamouche colle au plafond quand elle est issue de nourritures légères, au sol lorsqu'elle est issue de nourritures pesantes comme le goudron vient du fioul lourd et la pollution atmosphérique des carburants légers, la discrimination ne se faisant qu'au niveau de la particule (partie cul ?).
J'espère, Monsieur le Président, messieurs les jurés, que cet exposé savant, magistral et impératif, aura su vous convaincre du bien fondé de ma position et de l'incohérence des dispositions avancées par mes contradicteurs.
J'ai dit
Hugh.
Pour aborder le développement liminaire (de fond, Houille, houille dit-il craintif) il convient d'exposer rapidement que la bous'e'd'vache n'est pas un matériau natif puisqu'elle est un condensat de l'émulsion pet/bous' séparé par gravité dès l'extrusion anale et bovine.
C'est cet exposé rapide qui sera l'axe autour duquel va s'articuler mon développement. Convenons de l'appeler l'axe hâtif pour en simplifier l'identification.
L'interprétation savante des constats expérimentaux détaillés ci-dessus démontre sans aucune contestation sérieuse que la merdamouche conserve les caractéristiques initiales de la bouffamouche qui a servi à son élaboration.
En gourde, il est incontestable (et deux tu bascules) que la merdamouche ne peut coller au plafond que lorsque la mouche a à sa disposition un plafond "pourichier" (note : le pourichier est au plafond muscophile, ce que le "nourricier" est au sol, le putassier au politique et le meringué au nappage).
Deux arguments naturels spontanés et indéniables s'opposent donc aux affirmations infondées de mes contradicteurs :
1°) Comment peuvent-ils évaluer la proportion des dépôts au plafond des merdamouches rurales bovines alors même que les champs n'ont pas de plafond.
2°) Quand bien même il s'agirait de merdamouches stabulatoires et plafonnières, comment écarter qu'elles puissent être le résultat de la sédimentation excrémentielle de la régurgitation des effluves flatulatoires de la distillation de la bous' comme évoquée plus haut avec l'axe hâtif.
Souvenons nous que, à l'échelle de la mouche, le pet de vache est une bruine et qu'a l'instar du marin breton transi par les embruns chargés d'une brise hivernale la mouche est infusée jusqu'aux tréfonds de son pelage par les humidités fétides et poisseuses des éclaboussures post digestives et défecatoires qui, pour elle, sont autant de nourritures profuses et donc de merdamouche en devenir.
Soyons clair : quoiqu'en pense la vox populi, le sens commun ou la rumeur, la merdamouche colle au plafond quand elle est issue de nourritures légères, au sol lorsqu'elle est issue de nourritures pesantes comme le goudron vient du fioul lourd et la pollution atmosphérique des carburants légers, la discrimination ne se faisant qu'au niveau de la particule (partie cul ?).
J'espère, Monsieur le Président, messieurs les jurés, que cet exposé savant, magistral et impératif, aura su vous convaincre du bien fondé de ma position et de l'incohérence des dispositions avancées par mes contradicteurs.
J'ai dit
Hugh.
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Ah ben merdre...
Jopic Lun 30 Nov - 12:23
Le seul mot qui me vient : merdre
Démonstration magistrale et digne d'un de mes compatriotes pataphysicien.
Démonstration magistrale et digne d'un de mes compatriotes pataphysicien.
Jopic- Messages : 1130
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Patafix
Invité Lun 30 Nov - 13:23
Pour moi, ça reste une colle.Jopic a écrit:Le seul mot qui me vient : merdre
Démonstration magistrale et digne d'un de mes compatriotes pataphysicien.
Souhaitons qu'elle soit soluble dans l'eau des Vian.
Comme dit la sagesse populaire (et ce bon Alfred) : qui Ubu boira.
Dernière édition par PYM le Lun 30 Nov - 13:26, édité 1 fois (Raison : remord...)
Invité- Invité
Je fais appel ......
Invité Lun 30 Nov - 18:57
PYM a écrit:En préliminaire, j'attire l'attention des intervenants sur la présence du bourrelet de remord qui orne mon front puisque je vais devoir, pour expliciter ma contradiction revenir vers des données techniques, arides qui risquent, peut être, de décourager le béotiens et de rebuter le primaire mais qui me paraissent incontournables tant la véhémence éhontée et péremptoire de la perfide réponse introduite par mes contradicteur est criante.
Pour aborder le développement liminaire (de fond, Houille, houille dit-il craintif) il convient d'exposer rapidement que la bous'e'd'vache n'est pas un matériau natif puisqu'elle est un condensat de l'émulsion pet/bous' séparé par gravité dès l'extrusion anale et bovine.
C'est cet exposé rapide qui sera l'axe autour duquel va s'articuler mon développement. Convenons de l'appeler l'axe hâtif pour en simplifier l'identification.
L'interprétation savante des constats expérimentaux détaillés ci-dessus démontre sans aucune contestation sérieuse que la merdamouche conserve les caractéristiques initiales de la bouffamouche qui a servi à son élaboration.
En gourde, il est incontestable (et deux tu bascules) que la merdamouche ne peut coller au plafond que lorsque la mouche a à sa disposition un plafond "pourichier" (note : le pourichier est au plafond muscophile, ce que le "nourricier" est au sol, le putassier au politique et le meringué au nappage).
Deux arguments naturels spontanés et indéniables s'opposent donc aux affirmations infondées de mes contradicteurs :
1°) Comment peuvent-ils évaluer la proportion des dépôts au plafond des merdamouches rurales bovines alors même que les champs n'ont pas de plafond.
2°) Quand bien même il s'agirait de merdamouches stabulatoires et plafonnières, comment écarter qu'elles puissent être le résultat de la sédimentation excrémentielle de la régurgitation des effluves flatulatoires de la distillation de la bous' comme évoquée plus haut avec l'axe hâtif.
Souvenons nous que, à l'échelle de la mouche, le pet de vache est une bruine et qu'a l'instar du marin breton transi par les embruns chargés d'une brise hivernale la mouche est infusée jusqu'aux tréfonds de son pelage par les humidités fétides et poisseuses des éclaboussures post digestives et défecatoires qui, pour elle, sont autant de nourritures profuses et donc de merdamouche en devenir.
Soyons clair : quoiqu'en pense la vox populi, le sens commun ou la rumeur, la merdamouche colle au plafond quand elle est issue de nourritures légères, au sol lorsqu'elle est issue de nourritures pesantes comme le goudron vient du fioul lourd et la pollution atmosphérique des carburants légers, la discrimination ne se faisant qu'au niveau de la particule (partie cul ?).
J'espère, Monsieur le Président, messieurs les jurés, que cet exposé savant, magistral et impératif, aura su vous convaincre du bien fondé de ma position et de l'incohérence des dispositions avancées par mes contradicteurs.
J'ai dit
Hugh.
Car dans cette, reconnaissons le, magistrale plaidoirie, il n'est fait état que de la qualité plus ou moins volatile de la merdamouche ....
Nous avons donc bien compris que si de lamerdadiptère se retrouve désagréablement décoratrice des plafonds, c'est qu'elle y tient fixée par sa qualité technique de merdamouchelight .... issue, de bous'devach' ou de merdalui voire de merdaKantalui légères ..... (Ouvrons donc un fil sur la qualité de ......) .... bien aidée il est vrai par les plafonds "pourichier" particulièrement adhérents, j'en conviens ....
MAIS ce n'est pas la réponse à la question originelle ....
Si nous savons, maintenant, à peu près comment la merdamouche arrive à ne pas être victime de la terrestre gravité, l'interrogation demeure entière sur la méthode d'application de ce noble revètement ....
La décoration plafonnesque étant du domaine du batiment et peut être même des beaux arts ......
Crépi à la tyrolienne, ou application délicate à la brosse ?????????????????
Formulée ainsi, la question est surement plus parlante que frottement du fion de mouch' ou que petdemouch' ..... au plafond ......
Invité- Invité
Ah, ah...tu trembles carcasse!
Invité Mar 1 Déc - 8:32
Je constate (mais il se caresse aussi) que tu as dilué, à la lumière de l'éclairage scientifique, le vinaigre de ton propos dans l'huile du compromis, assaisonnant ainsi les salades que sont tes propos d'une vinaigrette adoucie, plus digeste que la harissa de ton premier service.
C'est bien la démonstration, si besoin était, de l'importance de la culture dans la qualité des rapports z'humains et de la capacité de tous de s'élever vers un niveau d'échange supérieur malgré la longueur du chemin à accomplir.
Donc, maintenant que tu sais, tu ne contestes plus les caractéristiques physiques de la merdamouche mais, dans une tentative désespérée de conserver cet insigne symbole de la vanité du mesquin qu'est l'honneur sous sa forme primaire appelée fierté, tu tentes maintenant de réduire le sujet à la seule recherche de la méthode d'application de la merdamouche par les hordes de diptères décorateurs, laissant ainsi en chemin toute la grandeur spirituelle que tu avais, certainement à ton insu, entrouverte dans l'ouverture de ce sujet.
D'emblée, je te répondrais qu'il n'est pas possible de répondre.
Esquive diras-tu et pourtant non, ce n'est que vérité vraie, combinaison subtile de savoir, d'observation et de bon sens.
La nourriture de la mouche est variée. La structure physique, les caractéristiques de la merdamouche sont donc elles aussi variées. Au cours de son éducation de mouche, le moucheron apprend progressivement à gérer cette diversité et à maitriser son ouvrage quelque soit le matériau à sa disposition.
L'impressionnisme et plus particulièrement la distance entre la réalité matérielle de la texture picturale et son rendu appréhendé nous enseigne que la technique d'application de la matière sur le subjectile, de son écrasement ou de son lissage, de sa dilution ou de son épaisseur a un retentissement immédiat sur la chaleur, la vigueur ou le calme de la représentation subjective souhaitée par l'artiste.
De la même manière, la mouche s'exprime au travers des gracieux paysages oniriques dessiné en courbes harmonieuses sur nos plafonds pour nous faire entrevoir tant ses paradis que ses enfers, ses vertes prairies ou ses déserts arides, ses océans inaccessibles mais tellement présents dans son inconscient subtil de diptère rêveur.
De toute évidence, la question que tu poses indique que tu n'as pas perçu cette délicatesse au travers des reflets métalliques des atours de son abdomen, pas plus que tu n'a saisi l'errance picaresque de la mouche en vol contournant, en suivant son rêve, les mirages de son monde intérieur, sautant de ruisseaux en broussailles, de chansons en poèmes, de merde au sucre puisqu'il faut le rappeler, quand bien même elle serait artiste, elle n'en reste pas moins mouche.
Oui, la mouche peint du fion.
Oui, la mouche postillonne du popotin.
Mais elle dilue et dégrade, elle moire, créant de vastes prairies ondulées (comme les vaches) qui ne sont pour nous que des univers insaisissables et hors de portée.
La mouche est un artiste. Lorsque tu auras réalisé que leur regroupement dans les vents de gogues n'est pas le fruit du hasard mais l'expression d'une admiration béate pour le badigeonneur batave, tu comprendra que lorsque elle pique à Sceaux (92330) ou qu'elle pond sur un beau terreau c'est une expression artistique et non pas un mécanisme aveugle.
La mouche est un "être humain" comme un autre. Souvent méconnue elle continue malgré tout à nous accompagner dans notre vie quotidienne, serviteur infatigable de nos aveuglements : comment trouverais-tu le chemin des chiottes si tu ne suivais pas les mouches ? Comment saurais-tu que le riz cuit que tu as conservé au frigo est ou non périmé sans les envols joyeux des pouponnières de ces précieux voisins ?
Je souhaite de tout cœur que ce fil aura permis de dévoiler un peu du mystère de ces discrets voisins et qu'au moins un de ses lecteur regardera dorénavant (ou désormais c'est vous qui voyez) la mouche et ses fresques d'un regard différent et ouvert.
Pour conclure je vous propose une méditation en forme de question : et si MichelAnge n'était, en fait, qu'un éleveur de mouche, la chapelle 16 en serait-elle pour autant moins belle ?
C'est bien la démonstration, si besoin était, de l'importance de la culture dans la qualité des rapports z'humains et de la capacité de tous de s'élever vers un niveau d'échange supérieur malgré la longueur du chemin à accomplir.
Donc, maintenant que tu sais, tu ne contestes plus les caractéristiques physiques de la merdamouche mais, dans une tentative désespérée de conserver cet insigne symbole de la vanité du mesquin qu'est l'honneur sous sa forme primaire appelée fierté, tu tentes maintenant de réduire le sujet à la seule recherche de la méthode d'application de la merdamouche par les hordes de diptères décorateurs, laissant ainsi en chemin toute la grandeur spirituelle que tu avais, certainement à ton insu, entrouverte dans l'ouverture de ce sujet.
D'emblée, je te répondrais qu'il n'est pas possible de répondre.
Esquive diras-tu et pourtant non, ce n'est que vérité vraie, combinaison subtile de savoir, d'observation et de bon sens.
La nourriture de la mouche est variée. La structure physique, les caractéristiques de la merdamouche sont donc elles aussi variées. Au cours de son éducation de mouche, le moucheron apprend progressivement à gérer cette diversité et à maitriser son ouvrage quelque soit le matériau à sa disposition.
L'impressionnisme et plus particulièrement la distance entre la réalité matérielle de la texture picturale et son rendu appréhendé nous enseigne que la technique d'application de la matière sur le subjectile, de son écrasement ou de son lissage, de sa dilution ou de son épaisseur a un retentissement immédiat sur la chaleur, la vigueur ou le calme de la représentation subjective souhaitée par l'artiste.
De la même manière, la mouche s'exprime au travers des gracieux paysages oniriques dessiné en courbes harmonieuses sur nos plafonds pour nous faire entrevoir tant ses paradis que ses enfers, ses vertes prairies ou ses déserts arides, ses océans inaccessibles mais tellement présents dans son inconscient subtil de diptère rêveur.
De toute évidence, la question que tu poses indique que tu n'as pas perçu cette délicatesse au travers des reflets métalliques des atours de son abdomen, pas plus que tu n'a saisi l'errance picaresque de la mouche en vol contournant, en suivant son rêve, les mirages de son monde intérieur, sautant de ruisseaux en broussailles, de chansons en poèmes, de merde au sucre puisqu'il faut le rappeler, quand bien même elle serait artiste, elle n'en reste pas moins mouche.
Oui, la mouche peint du fion.
Oui, la mouche postillonne du popotin.
Mais elle dilue et dégrade, elle moire, créant de vastes prairies ondulées (comme les vaches) qui ne sont pour nous que des univers insaisissables et hors de portée.
La mouche est un artiste. Lorsque tu auras réalisé que leur regroupement dans les vents de gogues n'est pas le fruit du hasard mais l'expression d'une admiration béate pour le badigeonneur batave, tu comprendra que lorsque elle pique à Sceaux (92330) ou qu'elle pond sur un beau terreau c'est une expression artistique et non pas un mécanisme aveugle.
La mouche est un "être humain" comme un autre. Souvent méconnue elle continue malgré tout à nous accompagner dans notre vie quotidienne, serviteur infatigable de nos aveuglements : comment trouverais-tu le chemin des chiottes si tu ne suivais pas les mouches ? Comment saurais-tu que le riz cuit que tu as conservé au frigo est ou non périmé sans les envols joyeux des pouponnières de ces précieux voisins ?
Je souhaite de tout cœur que ce fil aura permis de dévoiler un peu du mystère de ces discrets voisins et qu'au moins un de ses lecteur regardera dorénavant (ou désormais c'est vous qui voyez) la mouche et ses fresques d'un regard différent et ouvert.
Pour conclure je vous propose une méditation en forme de question : et si MichelAnge n'était, en fait, qu'un éleveur de mouche, la chapelle 16 en serait-elle pour autant moins belle ?
Invité- Invité
Je médite .....
Invité Mar 1 Déc - 18:30
Ou plutôt je veux bien, mais mon érudition étant , relativement, limitée je me suis dirigé vers le maître gogol pour trouver La Chapelle 16 ..... Je veux bien m'esbaudir devant un plafond de chieuse, mais il me faut au moins une image, même d'Epinal .....
J'ai donc trouvé, les chapelles ..... Sur Erdre, d'Abondance, en Vercors, Saint Mesmin, des Lombards, Basse Mer, des Marais, Sixtine, des Fougeretz et pour terminer, de Lyon .......
Pardonne moi de te contredire, mais aucunes de celles-ci ne se situent en Charente ..... Croyant à une erreur de Charente, j'ai regardé pour la maritime ..... Point de Chapelle à plafond virgulé non plus .....
J'ai donc trouvé, les chapelles ..... Sur Erdre, d'Abondance, en Vercors, Saint Mesmin, des Lombards, Basse Mer, des Marais, Sixtine, des Fougeretz et pour terminer, de Lyon .......
Pardonne moi de te contredire, mais aucunes de celles-ci ne se situent en Charente ..... Croyant à une erreur de Charente, j'ai regardé pour la maritime ..... Point de Chapelle à plafond virgulé non plus .....
Invité- Invité
Re: C'est la faute .......
Jorginho Mar 1 Déc - 18:36
Jorginho- Messages : 4239
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Age : 57
Localisation : Un kayou de l'Atlantique ;-)
Il fallait demander au Père Fidalbion.
Invité Mar 1 Déc - 18:43
La chapelle 16 est localisée au Vatican : 41°54'11.06"N 12°27'15.93"E
En fait, sez les anglais elle chapelle sixtine. Mais sez moi, elle chapelle 16...
En fait, sez les anglais elle chapelle sixtine. Mais sez moi, elle chapelle 16...
Invité- Invité
C'est l'aut'zouave là...
Invité Mar 1 Déc - 18:46
TRINGA a écrit:
...je ne sais pas qui est l'abruti qui a donné un nom briton à une église rital ....
Il y a de ses bizarreries quand même ....
Messie, tu sais bien...............le mec...................ah flutre, comment, qui, sa pelle.........celui qu'à niqué l'ange....
Ayé : Michelangelo di Lodovico Buonarroti Simoni.
Fffff....
Invité- Invité
Ahhh ouais .....
Invité Mar 1 Déc - 19:26
Le bruleur de bois vert ...... Le zigo qui fait de la fumée blanche quand il y a un nouveau curé .......
Mais qui dit fumée ..... dit pas de peintulureuse à plafond .... il n'est pas possible d'évacuer proprement dans un smog irritant .... Quoique chez le Père Fidalbion la génétique le prêtre à évoluer en air trouble ..... Non, ce n'est pas la fumée qui dérange .....
Euréka ........
Si je ne m'abuse ..... le plafond de l'édifice est en caillasse vulgaire ..... pas en bois de poutrachier ....
Non non non, cette barbouille là ne peut être l'oeuvre des mouchachierenlair ..... La merdamouche, devant la faible adhérence du support serai depuis déjà bien longtemps tombé sur la tronche des visiteurs béas et béants de la bouche .... La comtemplation de l'oeuvre laissant un léger goût amer ..... (tiens c'est marin ça) ....
Il me faut une autre image pour inspirer ma méditation et illustrer l'ampleur de tes connaissances diptéréennes ....
Mais qui dit fumée ..... dit pas de peintulureuse à plafond .... il n'est pas possible d'évacuer proprement dans un smog irritant .... Quoique chez le Père Fidalbion la génétique le prêtre à évoluer en air trouble ..... Non, ce n'est pas la fumée qui dérange .....Euréka ........
Si je ne m'abuse ..... le plafond de l'édifice est en caillasse vulgaire ..... pas en bois de poutrachier ....
Non non non, cette barbouille là ne peut être l'oeuvre des mouchachierenlair ..... La merdamouche, devant la faible adhérence du support serai depuis déjà bien longtemps tombé sur la tronche des visiteurs béas et béants de la bouche .... La comtemplation de l'oeuvre laissant un léger goût amer ..... (tiens c'est marin ça) ....
Il me faut une autre image pour inspirer ma méditation et illustrer l'ampleur de tes connaissances diptéréennes ....
Invité- Invité
Et en plus ......
Invité Mar 1 Déc - 19:31
Il est devin le guignol ......
Là, je pense que je vais méditer un bon moment ......
A ce niveau là je ne sais pas si il ne va pas falloir préparer un bûcher de bois vert ..... C'est pas humain ......
Invité- Invité
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