Mise à la cap
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THAIS
chomtranquil
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Mise à la cap
Hier , à plusieurs reprises (6-8 fois)j'ai tenté en vain de me mettre à la cap .
J'étais avec 2 copains qui eux se mettent facilement à la cape ( un avec un 10 M et l'autre avec un 13 M )
Ils se décident avant de rentrer au port de me montrer comment s'y prendre .
Et que bien nini l'a pas voulu y rester mon petit canot de 7m20 .
Courant venant de l' EST et vent du NORD pour simplifier le vent venant à 90° du courant est ce que cela peux m' empêcher de
rester à la cap ? Il n' y avait pas moyen de rester en place . Mon start 7 est ardant cela peut-il jouer avec le vent avoisinant force 4 - 5 ?
On avait la grande voile haute et réduit le génois , puis augmenté sa surface rien n'y a fait et ce bon copain de chomtranquil n'a pas voulu se calmer .
Quel ardeur à plus trente ans !!!!!
Si vous avez la solution je prends
J'étais avec 2 copains qui eux se mettent facilement à la cape ( un avec un 10 M et l'autre avec un 13 M )
Ils se décident avant de rentrer au port de me montrer comment s'y prendre .
Et que bien nini l'a pas voulu y rester mon petit canot de 7m20 .
Courant venant de l' EST et vent du NORD pour simplifier le vent venant à 90° du courant est ce que cela peux m' empêcher de
rester à la cap ? Il n' y avait pas moyen de rester en place . Mon start 7 est ardant cela peut-il jouer avec le vent avoisinant force 4 - 5 ?
On avait la grande voile haute et réduit le génois , puis augmenté sa surface rien n'y a fait et ce bon copain de chomtranquil n'a pas voulu se calmer .
Quel ardeur à plus trente ans !!!!!
Si vous avez la solution je prends
chomtranquil- Messages : 2391
Date d'inscription : 19/01/2010
Age : 57
Localisation : PERROS-GUIREC
Mise à la cape
La mise à la cape est simple :
Écoute de GV totalement choquée, génois à contre, barre sous le vent.
Techniquement :
L'effet du vent APPARENT pousse sur le génois à contre.
L'effet sur le bateau consiste à tenter de le faire abattre (beaucoup) et avancer (un tout petit peu par habitude).
L'effet du vent APPARENT sur la GV est négligeable si elle est totalement choquée et battante, il peut induire une mise en mouvement vers l'avant si la GV est bordée (petit mouvement si peu bordée, plus grand si plus bordée).
Enfin, la barre sous le vent a tendance à faire lofer le bateau dès qu'il fait mine de vouloir se déplacer PAR RAPPORT A L'EAU QUI EST EN DESSOUS. Cet effet qui a tendance à faire lofer, contrarie celui du génois qui fait abattre.
Tous les efforts étant soit nuls, soit contrariés, la résultante est donc un bateau qui n'avance plus (ou presque selon réglage de la GV, cf ci-dessus) PAR RAPPORT A L'EAU QUI EST EN DESSOUS.
A cheval entre lof et abatée, le bateau se met de travers au vent APPARENT et se contente de dériver à faible vitesse PAR RAPPORT A L'EAU QUI EST EN DESSOUS en restant appuyé sur l'eau. Idéal pour "mettre la matière" (cf. fil sur le sujet) par exemple lorsqu'on, navigue seul.
Un courant est donc sans impact sur résultat d'une mise à la cape si ce n'est que sa situation d'arrêt relatif sera mise en mouvement absolu par rapport à l'environnement terrestre identiquement au courant.
Écoute de GV totalement choquée, génois à contre, barre sous le vent.
Techniquement :
L'effet du vent APPARENT pousse sur le génois à contre.
L'effet sur le bateau consiste à tenter de le faire abattre (beaucoup) et avancer (un tout petit peu par habitude).
L'effet du vent APPARENT sur la GV est négligeable si elle est totalement choquée et battante, il peut induire une mise en mouvement vers l'avant si la GV est bordée (petit mouvement si peu bordée, plus grand si plus bordée).
Enfin, la barre sous le vent a tendance à faire lofer le bateau dès qu'il fait mine de vouloir se déplacer PAR RAPPORT A L'EAU QUI EST EN DESSOUS. Cet effet qui a tendance à faire lofer, contrarie celui du génois qui fait abattre.
Tous les efforts étant soit nuls, soit contrariés, la résultante est donc un bateau qui n'avance plus (ou presque selon réglage de la GV, cf ci-dessus) PAR RAPPORT A L'EAU QUI EST EN DESSOUS.
A cheval entre lof et abatée, le bateau se met de travers au vent APPARENT et se contente de dériver à faible vitesse PAR RAPPORT A L'EAU QUI EST EN DESSOUS en restant appuyé sur l'eau. Idéal pour "mettre la matière" (cf. fil sur le sujet) par exemple lorsqu'on, navigue seul.
Un courant est donc sans impact sur résultat d'une mise à la cape si ce n'est que sa situation d'arrêt relatif sera mise en mouvement absolu par rapport à l'environnement terrestre identiquement au courant.
Invité- Invité
Re: Mise à la cap
Captain Fletcher a écrit:Instable comment Lof ou abâtée
Départ au lof
le génois à tribord et la barre pareil ( le manche pour être précis ) et la GV bordée plein centre du bateau
chomtranquil- Messages : 2391
Date d'inscription : 19/01/2010
Age : 57
Localisation : PERROS-GUIREC
Euh....
chomtranquil a écrit:Captain Fletcher a écrit:Instable comment Lof ou abâtée
Départ au lof
le génois à tribord et la barre pareil ( le manche pour être précis ) et la GV bordée plein centre du bateau
Si le génois est tribord amure et donc bordé à contre avec l'écoute tribord, la barre doit être poussée comme pour faire tourner le bateau vers tribord : à bâbord pour une barre franche ou vers la droite pour un volant (bas rat roux).
Si, comme je comprends que tu le décris, ta barre est une barre franche (sur un navire de 7,2m ça me semble vraisemblable) et que tu mets le "manche" vers bâbord alors que tu es tribord amure, tu ne compenses plus rien.
Enfin, une GV bordée au centre à la cape, c'est un peu comme éteindre un incendie avec du super 95. Ca ne peut pas marcher.
La cape c'est :
Génois à contre (ici tribord amure, écoute tribord bordée), GV choquée, barre sous le vent (ici le "manche" vers bâbord).
C'est sans doute ta GV bordée qui te fais lofer et avancer.
Invité- Invité
Re: Mise à la cap
le plus simple amha c'est à partir d'un bord de prés , de virer sur l'autre amure sans toucher aux réglage du foc et en choquant un peu la GV , en fait comme un manque à virer en multi pattes , malgré le foc à contre
THAIS- Messages : 1882
Date d'inscription : 30/10/2009
Age : 72
Localisation : estuaire de la gironde
Entièrement d'accord avec Thiais.
Une précision : dans cette manœuvre de "virement sans choquer le génois", la barre se retrouve au vent. Pour passer à la cape, il suffit alors, après avoir choqué la GV, de repousser la barre de l'autre côté, sous le vent.
Cette manœuvre est, à mon sens, indispensable à maitriser.
C'est en particulier LA manœuvre qui permet d'entamer rapidement et en toute sécurité une opération de récupération d'homme à la mer (ou de manivelle de winch, ou de télécommande de pilote ou de casquette ou etc...,c'est du vécu).
Cette manœuvre est, à mon sens, indispensable à maitriser.
C'est en particulier LA manœuvre qui permet d'entamer rapidement et en toute sécurité une opération de récupération d'homme à la mer (ou de manivelle de winch, ou de télécommande de pilote ou de casquette ou etc...,c'est du vécu).
Invité- Invité
MERCI THIAIS ET PYM
PYM a écrit:Une précision : dans cette manœuvre de "virement sans choquer le génois", la barre se retrouve au vent. Pour passer à la cape, il suffit alors, après avoir choqué la GV, de repousser la barre de l'autre côté, sous le vent.
C' est comme çà que nous avons procédé donc il y a eu soit une mauvaise position de la GV , soit trop de toile sur elle par apport au génois .
Peut être que nous n'avons pas mis assez de toile sur le génois pour compenser celle de la GV , l'arrondit qu'il doit former n'était peut être pas assez grand
l'équilibre n'était pas paritaire puisque j'avais plus de toile sur la GV que sur le génois .
en tous cas je vais voir çà de près avec moins de vent car partir au lof n'est par agréable .
merci pour vos explications
chomtranquil- Messages : 2391
Date d'inscription : 19/01/2010
Age : 57
Localisation : PERROS-GUIREC
Selon moi et après relecture :
Position de la GV : c'est certain.
Tu décris qu'elle était alignée avec le bateau, hors, à la cape, elle doit être grosso merdo perpendiculaire au bateau (en tous cas la plus ouverte possible) battante entièrement choquée voire affalée, pourquoi pas.
A la cape franche, le rôle de la GV est rigoureusement nul. La quantité de toile portée sur la GV est rigoureusement sans aucune importance.
Tu décris un départ vers le lof. Cette configuration n'est possible que si ta GV est active pour faire avancer le bateau et rendre le bateau ardent.
Si la GV est strictement inactive, la surface du génois est sans grande importance (il faut quand même qu'il en reste suffisamment pour qu'il conserve les effets d'une voile d'avant bordée à contre). Si la GV est active, il faut effectivement suffisamment de surface pour contrebalancer les effets combiné du lof induit par la GV bordée et de celui induit par la position de la barre qui poussée sous le vent.
Fondamentalement, LE problème est le "bordage" de la GV dans l'axe du bateau.
Tu décris qu'elle était alignée avec le bateau, hors, à la cape, elle doit être grosso merdo perpendiculaire au bateau (en tous cas la plus ouverte possible) battante entièrement choquée voire affalée, pourquoi pas.
A la cape franche, le rôle de la GV est rigoureusement nul. La quantité de toile portée sur la GV est rigoureusement sans aucune importance.
Tu décris un départ vers le lof. Cette configuration n'est possible que si ta GV est active pour faire avancer le bateau et rendre le bateau ardent.
Si la GV est strictement inactive, la surface du génois est sans grande importance (il faut quand même qu'il en reste suffisamment pour qu'il conserve les effets d'une voile d'avant bordée à contre). Si la GV est active, il faut effectivement suffisamment de surface pour contrebalancer les effets combiné du lof induit par la GV bordée et de celui induit par la position de la barre qui poussée sous le vent.
Fondamentalement, LE problème est le "bordage" de la GV dans l'axe du bateau.
Invité- Invité
Re: Mise à la cap
dans la vraie vie , on se met à la cap avec souvent le troisième ris , donc GV mini
THAIS- Messages : 1882
Date d'inscription : 30/10/2009
Age : 72
Localisation : estuaire de la gironde
Oui, mais pas que...
THAIS a écrit:dans la vraie vie , on se met à la cap avec souvent le troisième ris , donc GV mini
Dans un usage "sauvegarde" oui, mais ce n'est pas la seule utilisation de la cape, dieu merci.
Elle est pratique aussi pour faire la bouffe au calme en solo, pour la métamatière (cf plus haut), pour, tout bêtement, s'arrêter en attendant que le niveau de la Vilaine permette de rentrer, parce que la cape franche permet de stopper le bateau tout en conservant son caractère manœuvrant puisque il est possible depuis la cape de se remettre immédiatement en mouvement, comme pour repêcher un homme à la mer (et pourquoi ne parle-t-on jamais des femmes à la mer ?).
De toutes façons, la GV étant sans influence sur une cape prise correctement, qu'elle soit intégralement hissée ou à trois ris, ou affalée ne change strictement rien.
Dernière édition par PYM le Lun 30 Aoû - 18:26, édité 1 fois
Invité- Invité
et
je ne vois vraiment pas comment le bateau pourrait être ardent si la GV est complètement débordée rail compris.
clarivoile- Messages : 2207
Date d'inscription : 31/10/2009
pour visualiser
[img][/img]
_________________
« La politique est le moyen pour des hommes sans principes de diriger des hommes sans mémoire »… Paul VALERY
« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)
Batelier- Messages : 7923
Date d'inscription : 29/10/2009
Age : 69
Localisation : la Rochelle
Re: Mise à la cap
Avec mon Eolia , afin de me mettre à l'eau pour récupérer un fil de pêche dans l'hélice du HB, j'ai voulu mettre à la cape de cette manière, mais pour que le bateau reste sagement en place la barre devait rester dans l'axe...
Macno- Messages : 8097
Date d'inscription : 25/08/2010
Localisation : sur la Vilaine
Encore heureux, qu'il ait fait beau, qu'il ait fait beau...
Avec la barre dans l'axe, ton bateau va se présenter cul au vent :
le génois à contre fait abattre le bateau.
La GV choquée ne combat pas cette descente dans le lit du vent.
La barre dans l'axe non plus.
Le bateau va se stabiliser dans une position avec le vent de 3/4 arrière qui le poussera gentiment.
Et si il ne fait pas beau, qui c'est qui restera dans l'eau...?
Une seule formule, que vient de rappeler Batelier :
Le Z.
le génois à contre fait abattre le bateau.
La GV choquée ne combat pas cette descente dans le lit du vent.
La barre dans l'axe non plus.
Le bateau va se stabiliser dans une position avec le vent de 3/4 arrière qui le poussera gentiment.
Et si il ne fait pas beau, qui c'est qui restera dans l'eau...?
Une seule formule, que vient de rappeler Batelier :
Le Z.
Dernière édition par PYM le Mer 1 Sep - 17:43, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Mise à la cap
Batelier a écrit:[img][/img]
C'est bien çà sauf qu'avec le vent à 90° venant de tribord je pense qu'il va falloir choquer plus la GV .
j'avais essayé comme sur le dessein et aussi la GV bordée dans l'axe du bateau aucune configuration n'a été concluante .
Je dois attendre une ouverture correcte pour sortir de ce trou et retenter cette manœuvre .
Quelqu'un a piqué l'eau Sacrée marée
chomtranquil- Messages : 2391
Date d'inscription : 19/01/2010
Age : 57
Localisation : PERROS-GUIREC
Re: Mise à la cap
Après tout peut-être que ma GV n'était pas entièrement choquée...? ( la mémoire n'est pas toujours fidèle ) mais toujours est-il qu'avec la barre dans l'axe et seulement avec cette correction, j'ai pu me mettre à l'eau tranquillement .....
Macno- Messages : 8097
Date d'inscription : 25/08/2010
Localisation : sur la Vilaine
et si le foc est auto-vireur ?
on le rembobine, ce qui peut être fait au sec depuis le cockpit, ou on se mouille en allant le bloquer à l'avant ?
p'titlouis2- Messages : 573
Date d'inscription : 22/06/2010
Localisation : Bordeaux
Et bien avec un foc auto vireur...
...c'est comme avec un hale bas rigide, une écoute de GV à l'allemande ou une bararou géante :
on est à la mode, mais il y a plein de trucs qu'on ne peut plus faire.
C'est ballot.
on est à la mode, mais il y a plein de trucs qu'on ne peut plus faire.
C'est ballot.
Invité- Invité
Re: Mise à la cap
mais si, ça pousse à réfléchir ! p.ex. : deux écoutes supplémentaires (celles du gen), toujours choquées afin de ne pas gêner les virements en automatique, mais, en cas d'urgence on reprend celle au vent et on la bloque avant le virement ?
p'titlouis2- Messages : 573
Date d'inscription : 22/06/2010
Localisation : Bordeaux
Bonne idée, que tu peux perfectionner :
... puis supprimer le chariot et le rail qui est devenu inutile et virer directement avec les écoutes.p'titlouis2 a écrit:...deux écoutes supplémentaires (celles du gen), toujours choquées afin de ne pas gêner les virements en automatique...
Blague à part :
Je ne connais pas ces machineries de jeunes, mais j'imagine qu'il doit y avoir moyen de "travailler" le positionnement du chariot sur le rail pour gérer la forme du génois comme on le ferait pour une GV (je n'ose pas imaginer que ce ne soit pas possible).
Dans ce cas, il est sans doute possible d'imposer au chariot une position idoine, ad hoc voire adéquate.
Invité- Invité
en réponse à la question initiale...
@ Chomtranquil;;la
cape est bien évidemment une manoeuvre de mauvais temps. Qui consiste à stabiliser le bateau en lui faisant faire du stationnaire (autant que faire se peut, mais selon les conditions il peut y avoir une dérive assez importante).
Elle se prend quand l'état de la mer ne permet plus de faire route au près, soit parce que les chocs occasionnés par la vitesse sont trop forts, soit pour reposer l'équipage, soit encore parce qu'un allure de fuite n'est pas possible (côte sous le vent trop proche et pas assez d'eau à courir).
- la GV est arisée normalement à son maximum, et se borde dans l'axe. En aucun cas on ne la laisse choquée comme j'ai pu le lire précédemment. Dans du mauvais temps elle ne résisterait pas longtemps au fasseyement!
- à l'avant on met le tourmentin, voile dédiée. Mais un génois enrouleur bien serré, avec sa surface réduite à un petit triangle, donc bien aplati, peut faire l'affaire. [le rendement d'un GSE est particulièrement mauvais à moitié enroulé pour remonter au vent, ce qui est un cas différent]. Celui-ci est bordé à contre (le point d'écoute au vent), plus ou moins. Mais là aussi tout fasseyement est à exclure évidemment.
- la position de la barre fait l'objet de tâtonnements, et il n'y a pas de recette-type. Cela dépend des bateaux. Il faut jouer sur la position du tourmentin et de la barre pour trouver un équilibre le plus satisfaisant possible.
La cape est une allure particulièrement confortable. On peut se reposer convenablement. Les bruits ambiants deviennent très atténués. Il est possible de faire la cuisine, de lire... tant que la force du vent et l'état de la mer restent dans des proportions acceptables pour cette allure, conditions que l'on rencontre la plupart du temps dans nos régions.
cape est bien évidemment une manoeuvre de mauvais temps. Qui consiste à stabiliser le bateau en lui faisant faire du stationnaire (autant que faire se peut, mais selon les conditions il peut y avoir une dérive assez importante).
Elle se prend quand l'état de la mer ne permet plus de faire route au près, soit parce que les chocs occasionnés par la vitesse sont trop forts, soit pour reposer l'équipage, soit encore parce qu'un allure de fuite n'est pas possible (côte sous le vent trop proche et pas assez d'eau à courir).
- la GV est arisée normalement à son maximum, et se borde dans l'axe. En aucun cas on ne la laisse choquée comme j'ai pu le lire précédemment. Dans du mauvais temps elle ne résisterait pas longtemps au fasseyement!
- à l'avant on met le tourmentin, voile dédiée. Mais un génois enrouleur bien serré, avec sa surface réduite à un petit triangle, donc bien aplati, peut faire l'affaire. [le rendement d'un GSE est particulièrement mauvais à moitié enroulé pour remonter au vent, ce qui est un cas différent]. Celui-ci est bordé à contre (le point d'écoute au vent), plus ou moins. Mais là aussi tout fasseyement est à exclure évidemment.
- la position de la barre fait l'objet de tâtonnements, et il n'y a pas de recette-type. Cela dépend des bateaux. Il faut jouer sur la position du tourmentin et de la barre pour trouver un équilibre le plus satisfaisant possible.
La cape est une allure particulièrement confortable. On peut se reposer convenablement. Les bruits ambiants deviennent très atténués. Il est possible de faire la cuisine, de lire... tant que la force du vent et l'état de la mer restent dans des proportions acceptables pour cette allure, conditions que l'on rencontre la plupart du temps dans nos régions.
Invité- Invité
Re: Mise à la cap
ou attendre que la mer monte pour entrer au port???
mais n ecrit on pas a la cape!
mais n ecrit on pas a la cape!
Invité- Invité
Non
hautbanc a écrit:ou attendre que la mer monte pour entrer au port???
mais n ecrit on pas a la cape!
la manoeuvre est la même, mais dans ce cas on parle de "mise en panne"...
Invité- Invité
Re: Mise à la cap
oui quand il fait beau
mais si t entres dans un port cause mauvais temps tu te mets a la cape quand meme! non!!
mais si t entres dans un port cause mauvais temps tu te mets a la cape quand meme! non!!
Invité- Invité
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